Un mot mal compris, une jalousie enflammée, et tout bascule dans le quiproquo. Dans Sganarelle ou le Cocu imaginaire, Molière signe une comédie vive et enlevée, entièrement fondée sur le malentendu. Sganarelle, homme impulsif et orgueilleux, croit à tort que sa femme le trompe après avoir surpris une conversation ambiguë. S’ensuit une cascade de soupçons, d’accusations et de situations absurdes, dans la plus pure tradition du théâtre comique. Créée en 1660, cette courte pièce en un acte révèle déjà tout le génie de Molière : des dialogues ciselés, un rythme effréné, et une satire mordante des travers humains — ici, la jalousie aveugle et l’orgueil blessé. Drôle, piquante et toujours d’actualité, Sganarelle est une brillante démonstration de l’art du quiproquo et de la comédie des apparences.
Un mot mal compris, une jalousie enflammée, et tout bascule dans le quiproquo. Dans Sganarelle ou le Cocu imaginaire, Molière signe une comédie vive et enlevée, entièrement fondée sur le malentendu. Sganarelle, homme impulsif et orgueilleux, croit à tort que sa femme le trompe après avoir surpris une conversation ambiguë. S’ensuit une cascade de soupçons, d’accusations et de situations absurdes, dans la plus pure tradition du théâtre comique. Créée en 1660, cette courte pièce en un acte révèle déjà tout le génie de Molière : des dialogues ciselés, un rythme effréné, et une satire mordante des travers humains — ici, la jalousie aveugle et l’orgueil blessé. Drôle, piquante et toujours d’actualité, Sganarelle est une brillante démonstration de l’art du quiproquo et de la comédie des apparences.
